*
Le givre qui crisse
sur les cèdres de trois siècles,
et sa voix enfin.
De mon père je ne sais
qu’une ombre et ces mots : “Dort-elle ?”
*
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Le givre qui crisse
sur les cèdres de trois siècles,
et sa voix enfin.
De mon père je ne sais
qu’une ombre et ces mots : “Dort-elle ?”
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