* Le givre qui crisse sur les cèdres de trois siècles, et sa voix enfin. De mon père je ne saisqu’une ombre et ces mots : “Dort-elle ?” *
* Le givre qui crisse sur les cèdres de trois siècles, et sa voix enfin. De mon père je ne saisqu’une ombre et ces mots : “Dort-elle ?” *